Percant la salle par un flot de lumière éblouissante, la salle se déchire de part en part. Distincte et propre, la chambre quia cceuillera durant l'année scolaire " le maudit" s'étendait sous son pas pesant qui déja s'y frottait. La porte glisse sur les gonds de fers, le bois claque contre l'encadrement de pierre de la porte, et le flot de lumière qui s'y déversait se dissipe.
Le silence pesant, l'obscuritée totale, une parfaite geôle.
<< Incendio >>, marmonna-t-il, ce mot résonnant dans la salle comme un seul son clair et parfait, alors que de sa baguette pointée vers la cheminée sur la droite de l'enrée, semblait avoir lancée à cette dernière un filament de couleur grisâtre, livide, créant dans le coeur e la cheminée de pierre un crépitement de flammes incessants, flamboyant de rougeur et de châleur.
Enfin, l'éclairement du feu permis à Pontus, dit le Maudit de voir aussi distinctement que possible la pièce. Alors qu'il était restée juste devant la porte, il vit le lit,d'un vert vif, tel la couleur des Korrigans, à baldaquin. Des voiles quasi transparent vert de jade, une petite fenêtre dont l'unique volet était encore clos, puis l'armoire, face au lit, ou il y rangera certainement ses affaires. Le sol était recouvert d'un tapis oriental, typée chinois, et accrochés au mur, quelques tableau d'éventuesls anciens professeurs de Défense contre les forces du mal pensa-t-il. Cjose verifiée lorsqu'il lut sur une plaquette fixée en dessous de l'un d'eux: << Namar Lasil, Professeur de Défenses contre les forces du Mal, 1960-1965>>.
Un petit sourire, fin, imperceptible, et sa valise qui, suivant les mouvements de sa baguette vint s'installée au pied de l'armoire, s'ouvrir, et ranger les affaires une à unes, seules dans l'armoire de Saule.