Rentrée des Classes - Grand Bal

Professeur de DCFM Nombre de messages : 37 Date d'inscription : 14/01/2006

AInsi donc la jeune rouquine était donc partie. Elle quittait le professeur pour rejoindre le buffet. Et bien avant que le professeur de DCFM ait pu lui répondre à la question qu'elle avait posée, elle s'était volatilisée.

Pontus, lui, restait à la place ou il était, les mains croisées en son dos, souriant aux diverses personnes qui passaient. Tant personnel qu'élève.

Il restait droit, fièr, toujours. Rien ne pouvait le faire changer d'avis semblait-il. Son sourire rêveur laissant transparaître une certaine distance tout de même avec les autres. Mais après tout, il était nouveau, et il se devait tout de même de faire quelques connaissance avec les professeur qui seraient ses collègue, cette année sûre, et peut-être les suivantes.

Alors il se mit en quête d'un visage adulte, celui d'un professeur avec lequel il pourrait discuter paisiblement. Il en avait des questions à poser. Tant sur les élèves, que sur les divers professeurs qu'il rencontrerait.

Encore sous le choc de ces quelques pas de danse, de l'attitude du Directeur ou tout simplement d'être aussi gênée par cette situation, la Sous Directrice marcha d'un pas un peu plus rapide que d'habitude, pour s'éloigner rapidement de la piste de danse, des fois qu'on ne la réinvite !
Elle espérait avoir sauvé les meubles, que personne n'ait vu son immense malaise et sa piètre façon de danser, surtout un tango.
Ce qui se voulait être très sensuel , même érotique parfois l'avait complètement perturbée. Elle se sentait encore un peu empourprée et se dit alors que pour un retour, Arsène mettait un point d'honneur la lui faire dire qu'elle était tranquile sans lui !

Mais était ce vrai ? Est ce que , à elle aussi, le Directeur avait manqué ? Trève de baliverne ! perdue dans ses pensées, les élèves l'esquivaient du mieux qu'ils pouvait et alors qu'elle restait plongée dans ses réflexions, elle ne vit pas le professeur de Défense contre les forces du mal et le bouscula légèrement. Confuse, elle sentit le rouge monter si vite à ses joues qu'elle ne put le retenir.
Mais c'était une manie , ce soir , de rougir comme une collégienne amoureuse ?! Hécaterinaa se sentait furieuse contre elle même, et retint un grognement qui n'autait été bien perçu. Pontus allait sans doute le prendre pour lui, penser qu'elle est furieuse contre lui, alors qu'au contraire, c'était contre elle même qu'elle en avait.

Reprenant son calme et ses esprits par la même occasion, elle s'inclina très légèrement pour rectifier :

<< Veuillez m'excuser Professeur, je ne vous avez pas vu ... >>

Elle se sentait un peu gênée, se disant que vraiment, ce soir, elle n'était pas vraiment elle même, qu'elle faisait gaffe sur gaffe, fausse note et souhaita intimement vite rentrer dans sa chambre et soupirer, rager contre elle même devant les yeux interrogateurs de son chat.

Elève L Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 09/12/2005

Et hop elle secouait la tête ! Elle sortait enfin de ses multiples rêveries, lorsqu'enfin, le Directeur, très charmant d'ailleurs, fint son entrée en scène.
Neyrelle était toujours assise dans son coin, toujorus aussi muette, et très attentive aux moindres faits et gestes, et paroles de ses camarades...
La poisse n'empêche de ne guère avoir de cavalier à ce bal...
Ainsi, ses prunelles noisette rivées sur le directeur et la directrice, Neyrelle demeurrait toujours aussi immobile, à croire qu'elle se lassait de ce bal... Et pourtant... C'était bel et bien le contraire, elle était bien ici, malgré le fait qu'elle ne puisse danser...

Zéphyrine étouffa ce qui parut un hoquet de surprise en sentant les mains de Val se poser sur sa taille. Par réflexe sans doute, ses propres mains allèrent rejoindre celles de son camarade quand elle sentit ses pieds quitter le sol. Soulevée, elle jeta par dessus la foule d'élèves un petit regard pour enfin voir le directeur, puisque jusque-là, ça avait été chose impossible.

UNe fois que ses pieds eurent regarder le sol, elle se tourna vers Val, et pour une fois, en rien elle ne rougissait. Elle affichait même en vérité un large sourire à mi-chemin entre une enfant amusée et une tendre gratitude.

"Merci beaucoup, Val! Sans toi, je n'aurais rien pu voir."

Son sourire sincère s'estompa un peu. C'était bien le premier bal où elle avait pu voir le directeur par-dessus la foule. Les années précédantes, elle n'avait fait que sautiller inutilement en espérant appercevoir quelque chose. Tout sourire, elle jeta un regard alentour avant de se reporter sur son camarade, constatant que le discour était achevé de même que la danse d'entrée hanituelle du directeur de l'école.

Professeur de DCFM Nombre de messages : 37 Date d'inscription : 14/01/2006

Voila depuis un bon petit moment déja que le professeur de défense contre les forces du mal s'étaot mis volontairement à l'écart de la piste de danse, et observait avec un léger sourire aux lèvres, la piste de danse.

Lorsque finalement, une bousculade vint le sortir de sa rêverie, le professeur effacait son sourire, tournait son regard de jade sur la personne, et d'une main calme et pourtant pesante replacait une mèche de sa chevelure blonde cendrée derrière son oreille.

Une mine déconfite vint prendre place sur son visage, il avait vu le rougissement des joues de la charmante hécaterinaa, et il ne put qu'en esquisser un sourire moqueur, mais point méchamment.

" Allons..Ne vous en faîtes pas pour si peu chère collègue..", lancait-il à son égard, un regard qui la toisait avec animositée, comme pour la mettre un peu plus mal à l'aise encore. Comme un jeu, il se jouait de sa gêne, de son empourprement.

Il avait remarqué déja la délicieuse silhouette de cette personne lorsqu'il s'entretînt quelques instans dans les écuries, ou vivaient les palominos. Enfin bref.

" Comment allez-vous madame en cette soirée de bal ? " , placait-il gaiement entre deux regards qui se croisait au sien. Le ton de sa voix était doux, mielleux, envoutant même.

Il avait prit toute une douceur et toute une délicatesse inimaginable pour prendre la jeune fille par la taille et la soulever alors de quelques demi-tête au dessus des autres, et lui permettre ainsi de voir le directeur, pour sa première fois lors du bal. Sans doute jamais n'aurait-elle connu cette tendresse, gentillesse et douceur de la part d'un autre camarade, quoi que..

Enfin il la reposait au sol, et ses mains n'avaient toujours pas quittés celles de Zéphyrine, il les gardait précieusement au creu des sienne, entre-lacant ses doigts fins et sans doute d'artistes, à ceux de son homologue préfète. Elle s'était tourné vers lui, lui souriait et sans rougir, constatant ce fait, ce fut ses joues à lui qui s'empourprèrent alors de gêne et de timidité. Son regard s'encrait dans le sien, et ses lèvres vinrent trouver son front.

La danse du directeur était maintenant finie, et la piste de danse avait retrouvé tous les danseurs habituels, bon et moins bon, tous accompagnés chacuns et chacunes d'un cavalier habillé d'un vêtement de soirée.

" Ne me remercie pas..", souffla-t-il, au creu de son oreille, après avoir prit la jeune fille dans ses bras, sans vraiment de raison apparente.

Citation :: Et bien, j'avoue être surprise, mais ce serait avec grand plaisir, professeur!

Ho mais c’est que… Je croyais que c’était ce que vous vouliez… Et puis… On pourra toujours discuter non ?

C’est à ce moment là, que le directeur entra dans la salle. Le silence se fit aussitôt ! Les danseurs cessèrent leurs mouvements. Le directeur fit son discourt !
On lui avait mis une réputation de grand plaisantant… Mais en ce moment précis il était plutôt sérieux.
Son discourt terminé, Dame Hecaterinaa lui souffla un mot et se dirigea vers Zephyr et Freja. Mais le directeur la pris et ils se mirent à danser ! Vu la tête que faisait dame Hecaterinaa, cela ne lui plaisait pas du tout ! Finalement les choses que l’on disait sur cet homme semblaient être justes. Décidément, il allait se plaire ici !
La musique pris fin et une autre commença. Zephyr se tourna vers Dame Freja qui les observaient et cela avait l'air de l’amusait !

Souhaitez-vous reprendre cette discutions Madame ? Lui dit-il en faisant signe de la tête vers la piste de danse…

L'entrée du directeur fit ouvrir ronds les grands yeux en amande d'Alastor..Il pensa avoir affaire à un sacré phénomène..d'ailleurs ,son nom confirma ce qu'il avait cur entendre quelque scondes plus tôt, grâce à son ouïe exceptionnellement développéee : un bruit sourd, un cri, un nom ressemblant à "Arsène.."

Alastor songea qu'il avait du arriver en catastrophe, hypothèse renforcée par son retard..

Son intervention l'avait surpris et amusé, mais il ne se moquait pas de lui,il le prenait au sérieux, et aimait déjà sa façon de ne pas se prendre au sérieux lui-même..
Il dégageait une sacrée aura, et bien qu'Alastor n'en eut pas encore consicen, n'étant qu'un enfant, il s'agissait de la puissance magique de son directeur qu'il sentait, et ce n'était pas rien !!

{Il n'est sûrement pas parvenu à ce poste par hasard..Je suis sûr que j'apprendrais autant de lui que des autres professeurs..il a l'air vraiment intéressant !!}songea-t'il avec enthousiasme.

Ses derniers mots finis,il se retourna vers Floriane..

Floriane allait repondre , mais le directeur entra a ce moment la . Il etait comme a son habitude . Ah son passage Flo sourit d une maniere elegante ni trop surfait ni trop absent . Quand il fut trop avancé dans la salle elle se retourna vers Alastor et elle garda toujours le meme sourire . Ce garcon bien qu il soit beaucoup plus jeune qu elle etait plustot mignon . Floriane lui serrat la main delicatement et lui dit .

"Moi aussi je suis anchantée de te connaitre .
Ca m etonnerais que tu sois le seul ..."

Elle continuait a sourire ne sachant pas que dire elle regardait autour d elle et vit une jeune fille qui devait surement etre en premiere année , et en tout cas elle etait a Korrigan.

"Tient regarde là-bas elle n est pas jolie cette jeune demoiselle ?"

Alastor se tourna vers la direction indiquée par Floriane et aperçut en effet une fille aux couleurs de Korrigan, qui paraissait très jeune..Comment ne l'avait-il pas remarqué avant? Sans doute était-il trop pris à gamberger et à supporter l'atmosphère lourde du bal..

"En effet elle est mignonne..mais jamais je n'aurais osé l'aborder..toi non plus d'ailleurs.."déclara-t'il d'une voix gênée..

Floriane semblait plus àl'aise que lui, mais à l'évidence, c'était à lui de faire une effort cette fois, elle était venue l'aborder, à lui à présent de lancer un minimum de conversation..Alastor était mortifié de timidité, Floriane étant en effet très jolie pour son âge..Il déglutit péniblement et se promit de ne pas paraître trop ridicule..

Et surtout elle lui inspirait confiance, du coup il avait envie d'en apprendre plus sur elle..

"Le directeur semble..original..toi qui le connaît, quel est ton avis?je suis certain que tu dois savoir des tas de choses intéressantes.."

"{Mais qu'est-ce que je dis? c'est n'importe quoi !! quel raseur barbant je fais! Elle va s'en aller c'est sûr..pitié Floriane mets moi en confiance..mais ton sourire est trop charmeur..En plus elle dégage une aura particulière pour quelqu'un d'aussi jeune..oui ,cette rencontre ne s'est pas faite par le fruit du hasard..}

Alastor aussi était particulier, par son clan, ses origines, ses capacités, son potentiel inhérent, mais surtout par son caractère..Un ange ,disait-on de lui, un ange rieur mais au regard infiniment profond et triste..

Pour une fois que ce n'était pas elle qui subissait le changement de couleur, elle se surprit à avoir un étrange sentiment d'amusement. Mais bien loin de la moquerie, elle trouvait plutôt touchant de ne pas être seule à afficher le rouge aux joues.

Pourtant, cette fois encore, elle fut autant surprise du baiser déposé sur son front que de cette subite étrainte. Le souvenir de l'épisode du jardin de l'après-midi lui revint en mémoire. Ah non! Hors de question de mettre encore Val mal à l'aise! Elle eut pourtant une seconde d'hésitation, juste une toute petite, puis elle se laissa aller dans les bras de son camarade. Après tout, ce n'était pas désagréable, n'est-ce pas?

Et même si la réponse de son camarade la surprenait un peu, elle ne répondit rien, ayant la curieuse impression qu'elle allait comme rompre un charme ou quelque chose de ce genre. Mais ça ne pouvait pas durer éternellement n'est-ce pas? Ses yeux se portèrent un instant vers la piste de danse, juste pour regarder tous ces couples bouger comme si la foule n'eut été qu'une seule et unique entité. Mais perdue bien loin dans ses pensées, elle se reporta sur son camarade, puisque dans un premier temps, ils avaient traversés la salle dans un autre but que de s'enlacer.

"Je te prépare un verre?"

En réponse, le professeur de métamorphose hocha la tête simplement. Bien entendu qu'ils pourraient parler! L'un n'empêchait jamais l'autre. Apparemment, le jeune homme s'était trompé sur les intentions de Freja, mais ce n'était pas si grave que cela, la situation ne s'en trouvait en rien changée, du moins pour Freja.

Mais avant qu'ils n'aient pu mettre en pratique ce qui avait été si joliment demandé, le directeur apparu et la vue de la directrice adjointe provoqua à Freja un certain soulagement. Voilà donc la raison du départ si soudain! Elle qui s'était faite du soucis en pensant qu'il eut s'agit d'un sérieux problème.

Enfin elle retrouvait son sourire, applaudissant, comme tous les élèves bien entendu, le discours du directeur. Et lorsque la danse d'entrée arriva, et qu'elle vit le regard convergeant de mademoiselle Laherte, elle se demanda si, comme la plupart des années, elle allait danser avec le directeur, mais celui-ci visiblement avait choisi sa cavalière, au grand damne de la directrice adjointe.

Amusée, et ce n'était encore rien de le dire, Freja leva une main pour cacher son sourire, et surtout pour étouffer ce vilain rire fort peu de circonstance qui allait lui échapper. Pauvre Hecaterinaa, elle qui avait jusque-là montré plus d'affection pour la lecture que pour la danse, ses nerfs étaient mis à rude épreuve. Elle se surprit même à trouver le directeur un peu cruel, mais le plaisir de voir sa collègue sur la piste effaçait bien vite ce sentiment.

Mais à nouveau son attention revint sur le professeur de soins aux créatures magiques. Bien évidemment, l'arrivée du directeur avait tout laissé en plan, mais elle avait bien l'intention de poursuivre.

"Bien volontiers, professeur!"

Elle s'avança à peine, prête à suivre son homologue masculin.

Comme un dédoublement de personalitée presque, Val paraissait très étrange. Il avait desserer l'étreinte de ses mains, et il prit un léger pas de recul. Son regard dardait sur la gauche, la droite, Ah! un camarade que Val reconnut dans l'assemblée dansante, et d'un geste poli et amical de sa main, il le salua.

Un charmant jeune homme qu'était le danseur, une chevelure courte, et les cheveux plaqués sur son crâne par un artifice molu, une peau pâle, laiteuse, et un sourire tout aussi niais qu'attendrissant.

Val n'avait apercu de sa cavalière que de dos, mais dans son allure, il semblait y avoir reconnu la une dernière année, tout comme eux. Un sourire mélancolique à cette pensée, et il sortit de sa rêverie lorsque Zéphyrine l'interrogeait sur un nouveau verre.

<< Oui, avec plaisir..Merci..>> souffla-t-il distraitement, entre deux regards perdus.

Vraiment, ce qu'il était bizarre ce cavalier.

Quelque chose avait changé, sans trop qu'elle ne sache quoi. Le pas de recul, un peu de relâchement, sans doute rien, mais un certain malaise prenait quand même place. Elle fixa un court instant son camarade apparemment distrait par autre chose. Suivant la direction du regard, elle ne vit que les différents danseurs, sans vraiment savoir à qui le salut était destiné. Peut-être l'avait-elle mis mal à l'aise?

Sans un mot, elle s'écarta de Val pour se rapprocher de la table, tirant vers elle deux verres vides qu'elle ne tarda pas à remplir de jus de citrouille. Elle avait dû faire quelque chose de mal, le comportement de son camarade avait comme changé, comme si malgré toute la gentillesse, il avait envie de prendre ses distances subitement. Pensive, elle eut un moment d'hésitation avant de se retourner, mais acheva vite son geste en tendant à Val un des deux verres plein.

"Voilà."

A nouveau elle le fixait, sans gêne cette fois, sans réaliser que cette attitude pouvait être dérangeante, elle cherchait juste dans l'expression changée de son camarade un indice qui expliquerait la situation ou qui lui prouverait qu'elle se faisait des idées. En vérité, elle était plutôt convaincue de cette dernière possibilité.

Oui, il avait été étrange, et cela sans que lui même ne s'en rende vraiment compte. Après avoir salué distraitement son camarade dansant, il tournait à nouveau son minois vers elle, un léger sourire aux lèvres. Oui, vraiment, il avait la faculté de changer de comportement en une seule seconde. Etrange.

Elle s'était écartée pour servir alors les deux verres de jus de citrouille, et Val put en saisir un dans sa main lorsque la gentille Zéphyrine lui en tendait un; vraiment, elle ausis était d'une gentillesse remarquable avec lui. Pourquoi ? Fallait-il vraiment une raison pour qu'elle le soit? ET puis, pour quelles raisons aurat-elle pu être méchante avec lui ? Lui qui s'était montré compréhensif, sympathique...et qui lui offrait même son premier bal..Non, lui aussi se faisait son petit film...Mais un autre lui passait dans la tête, et ce dernier lui arrachait un dernier sourire de satisfaction entière...Dans ce film, il s'imaginait avoir pris Zéphyrine dans ses bras, l'étreindre avec délicatesse et gentillesse, tout comme il l'avait fait jusque maintenant, et il voyait son visage proche du sien, leurs lèvres pressées...

Un rêve..Malheuresement..Comme il s'en faisait déja beaucoup avec un grand nombre de fille qu'il appréciait, sans retour.

<< Merci Zéphyrine..C'est gentil. Dit, parle moi un peu de toi tu veux ? >>

Zéphyr acquiesça et ils partirent tous deux sur la piste de danse.

Ils rejoignirent rapidement le centre de la scène. En harmonie. Leur danse était magnifique. Dansant au rythme de la musique, ils alaires de-ci, de-la. La musique les berçait tranquillement. Ils avaient même pris l’attention de certain, notamment des élèves de Roxane. Après deux ou trois morceaux, Zéphyr fini par dire quelque chose.
Alors, madame, de quoi voulez-vous parler ?

Je suis vraiment désolé, mais je n’arrive pas à décrire cette scène…(ce qui est plutot rageant…) Je préfère mettre quelque que de ne rien mettre…

[Argh! Temps de réponse honteux, mes excuses.]

La question, tout autant que le changement d'attitude, surpris d'autant plus Zéphyrine. Il fallu compter quelques secondes pour que les mots n'aient une signification, et tout autant pour trouver une réponse à y apporter. Prise au dépourvu, elle s'affola un court instant, le temps d'imaginer quelque chose à répondre.

"Et bien... Il n'y a pas grand chose à dire. Rien même. Tout est relativement commun."

Oui, trop commun, comme la plupart des histoires bien de familles modèles, d'enfants normaux (puisque la sorcellerie était dans ce cas normale) à une exception pret, dans un décor sauvegarder malgré les horreurs qu'avaient eu à subir la plupart des personnes en Europe. Non, il n'y avait vraiment rien dans l'esprit de Zéphyrine qui vaille vraiment la peine. Par contre il lui semblait devoir tirer au clair deux ou trois détails sur lesquels elle ne voulait pas rester ignorante.

"Tu avais l'air bizarre tout à l'heure. Qu'est-ce qui s'est passé?"

Changement de sujet, peu subtile, mais en tout les cas utile pour elle qui entendait bien satisfaire sa curiosité.

[Il n'y a pas de mal, c'est pas évident.]

Quoi de plus agréable pour faire plus ample connaissance qu'une danse dans un bal aussi mémorable que l'étaient tous ceux de l'école de Beaux-Bâtons? Les quelques regards qui les avaient suivit étaient de ceux qui observaient la piste en général, s'émerveillant probablement d'un tel balet de tissus, de couleurs et de musique. Ceux des élèves de Roxane étaient d'avantage une curiosité polie envers ce nouveau professeur qui dansait avec leur directrice de maison. Mais les morceaux achevés, l'extérieur de la piste rejoint, Freja ne s'était en rien départi de son air de ravissement, croisant çà et là ceux de ses élèves qu'elle saluait d'un hochement de tête poli, à défaut d'aller leur parler.

"Merci pour cette danse, vous être un cavalier des plus agréables."

Quoi de plus naturel aussi que d'apprécier les échanges de pas, les balancement au rythmes des valses. Mais les intrigues demeuraient, et comme c'était la première fois qu'elle rencontrait Zéphyr, il était tout naturel d'avoir des questions à poser, en espérant que ce ne fut pas indiscret.

"Et bien, je n'ai pas de sujet de conversation à imposer, mais j'avoue être quelque peu curieuse de votre parcours. Je n'ai pas souvenir de vous avoir vu en tant qu'étudiant dans cet établissement par le passé, vous venez d'une autre école?"

Entre les différentes écoles de sorcellerie, qui sait l'endroit où il avait appris la magie? Et si ça avait été dans cette même école, probablement l'aurait-elle au moins reconnu de vue, ce qui n'était pas le cas.

Zéphyr fut quelque peu déstabilisé par la question, mais il n’en montra rien.

Non, en effet je n’étais pas dans cette école. A vrai dire, je n’ai connu aucune école de sorcellerie. En Angleterre, il y a quelques différents avec certaines… personnes. Je n’ai appris la magie que très tard. Mais pas dans une école.

Dame Freja sembla un peu étonnée. Peut-être fut-elle surprise pas le fait qu’il n’ait appris la magie que tard et qu’il était quand même professeur.
Soudain, le son environnent ce fit lointain. Dame Freja dit quelque chose, mais il n’entendit rien. Un élève approcha et adressa la parole à Dame Freja. La salle sembla basculer doucement. Mais il se ressaisit. Dame Freja le regarda d’un air interrogateur. Zéphyr fit mine de regarder l’heure et, avec toute la courtoisie possible, il salua Dame Freja et la laissa, étonné, avec son élève. Zéphyr sorti rapidement de la salle de bal. Au passage, il s’arrêta pour s’observer dans une glace. Il était si pâle qu’il aurait pu être transparent. Il prit la direction de l’infirmerie.

Pontus Labot a écrit:: Voila depuis un bon petit moment déja que le professeur de défense contre les forces du mal s'étaot mis volontairement à l'écart de la piste de danse, et observait avec un léger sourire aux lèvres, la piste de danse.

Lorsque finalement, une bousculade vint le sortir de sa rêverie, le professeur effacait son sourire, tournait son regard de jade sur la personne, et d'une main calme et pourtant pesante replacait une mèche de sa chevelure blonde cendrée derrière son oreille.

Une mine déconfite vint prendre place sur son visage, il avait vu le rougissement des joues de la charmante hécaterinaa, et il ne put qu'en esquisser un sourire moqueur, mais point méchamment.

" Allons..Ne vous en faîtes pas pour si peu chère collègue..", lancait-il à son égard, un regard qui la toisait avec animositée, comme pour la mettre un peu plus mal à l'aise encore. Comme un jeu, il se jouait de sa gêne, de son empourprement.

Il avait remarqué déja la délicieuse silhouette de cette personne lorsqu'il s'entretînt quelques instans dans les écuries, ou vivaient les palominos. Enfin bref.

" Comment allez-vous madame en cette soirée de bal ? " , placait-il gaiement entre deux regards qui se croisait au sien. Le ton de sa voix était doux, mielleux, envoutant même.

Après cette danse échangée -de force faut il le rappeler- avec le Directeur, les pensées d'Hécaterinaa se trouvaient faussées voire embuées. Elle avait grand'peine à retrouver ses parfaits esprits, elle restait un peu dans la lune. Sa propre attitude l'exaspérait et elle se sentit encore plus rouge en entendant les paroles du Professeur. Effectivement, son ton avait eu l'effet escompté, et elle se sentait gênée bien plus encore.

Fort heureusement, peu avaient vu cette scène dérangeante et elle se promit d'inventer quelque formule magique idéale pour se réveiller, telle une douche froide. Mais pour l'heure...

<< Hé bien, je dois avouer être un peu indisposée ce soir. Mais cette année encore, ce Bal est vraiment agréable, surtout avec de nouvelles têtes. >>

Ne désirant pas avoir l'air trop perdue (ne pas contrôler son état était très agaçant pour la jeune femme, qui aimait avoir tout maîtriser de tout sur tout ici !), elle cherchait à discuter le plus possible, afin d'avoir le temps de retrouver son calme.

Repensant alors aux quelques pas que le Professeur de défense contre les forces du Mal avait échangé avec une jeune élève de Chimère, Hécaterinaa profita de cette occasion pour bavarder, reprenant peu à peu une teinte normale pour ses pomettes.

<< Vous êtes un fin danseur, Professeur, je suis toujours ravie en voyant mes Enseignants outre passer les règles qu'imposent les autres par peu et pudeur, évidemment, lorsque ceci reste correcte. >>

Elle voulait bien préciser deux choses : elle admirait les personnes sachant danser, et lui faisait un compliment, mais le mettait en garde sur d'éventuelles relations très illégales avec des élèves.
Bien qu'elle soit certaines que M. Labot soit une personne intègre qui jamais n'irait mettre à mal les Règles établies ici, elle voulait cependant être claire dès le début.

Souriante, légèrement biensûr, ses lèvres étaient pourtant une façade, car à l'intérieur, elle respirait calmement pour se détendre, en s'empêchant de jeter un oeil sur les actions du Directeur, maudit soit-il.

Directeur Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 09/04/2006

Les yeux perçant d' Arsène cherchait dans la salle dame Von Kriemhild, pour lui présenter ses salutation. Il manqua de bousculer un élève quand il la vis, mais remarquant son cavalier il se décida a la laisser tranquille. Sa petite salamandre lui mordilla l'oreille. Les élèves s'amusait, bref tout allait bien. Pour l'instant.

Il s'éloigna de tout ce beau monde et se glissa jusqu'au jus de citrouille. Remarquant sa chère adjointe en grande discution avec le Professeur Contre Les Force Du Mal. En portant sont verre a ses lèvres ce dernier essaya de la mordre. Il esquiva facilement et se tourna vers deux élèves de Korrigans qui s'en allait de la table avec un air affairer, il leur jeta un regard a rayer du diamant et enleva les quelque verre mordeur et après quelque mouvement de baguette les envoyèrent en chasse des élèves fautifs.

Il y avait tellement de nouveau effectifs, mais il se trouvait content de ses choix. Il observa monsieur Labot, et lui trouva un air sympathique. Freja était incomparable de beautée comme a son habitude. Hécaterinaa semblait troublée, il se surpris a regretter un peu cette taquinerie, mais il savait qu'il la paierait bien assez tôt.

Quand il retourna les yeux vers Dame Freja son cavalier s'était volatiliser. Chose étonnante. Mais la foule trop mouvante des élèves lui interdit de retrouver sa trace. Il s'aprocha d'elle et l'aborda avec un baisemain.

Vous êtes toujours aussi gracieuse Freja Von Kriemhild, une ravissement pour les yeux et l'esprit. Mais il me semble qu'il y a une seconde vous dansier encore avec ce nouveau professeur, il s'est volatiliser ou vous l'avez changer en grenouille ?

Avec un air de surprise, effectivement, de même qu'une part d'inquiétude, le professeur de métamorphose regarda son collègue s'éloigner. Pour un peu, elle se serait proposée de l'accompagner à l'infirmerie, le pauvre était si pâle! Mais son attention était en même temps prise par un élève incertain, qui apparemment n'avait pu être dans la salle commune au moment où elle avait dispensé ses informations de bienvenue. Chose normale en sommes! Beaucoup ne savaient où donner de la tête à la rentrée. Avec toute la douceur et le charme qui lui était commun, elle répondit au questions du pauvre élève gêné qui finit par s'éclipser poliment. AInsi, Freja fut-elle sur le point de chercher du regard si son collègue avait atteint la sortie de la salle, ce qui apparemment fut le cas, lorsqu'une tierse personne l'aborda avec la galenterie d'un baisement si caractéristique.

"Monsieur de Chantenuit! Quel plaisir de vous voir. Je constate que votre absence ne vous a en rien fait perdre vos si bonnes manières."

Un peu ambigüe, Freja eut un demi-sourire et une rapide déviation du regard en direction de la directrice de Chimère avant de poursuivre, au sujet de son cavalier qui s'était éclipsé.

"Oh, le pauvre ne s'est pas senti bien. J'espère qu'il ne s'agit pas d'un mauvais tour de quelques élèves, j'en ai aperçu qui traînaient un peu bizarrement non loin de la fontaine de jus de citrouille..."

Encore une fois, elle jeta un regard mais plutôt vers la sortie de la salle de bal, peut-être avec un semblant de compation pour le pauvre professeur de soin aux créatures magiques.

"Mais dîtes-moi, où étiez-vous passé pendant tout ce temps? Votre absence a suscité beaucoup d'inquiétudes."

Le jeune homme écouta patiemment le discours du nouvel arrivant et directeur de l'école. Il y témoigna un interet distingué et y instaura toute son attention, une fois celui-ci achevé, il ne s'extasia absolument pas de l'offence qui était faite a la directrice adjointe mais a peine aura t'il vu les pas désordonné et non suivant le rythme de la musique qu'il lacha l'attention de la tragique scene pour s'en retourner vers de plus sérieuses occupations.

C'est donc avec entrain et avec le sourire qu'il se retourna plus tot que prévu vers sa cavaliere. Il lui retendit la main d'un geste gracieux et haussant ses deux sourcils dans une mimique amusante il se contenta de quelques mots :

"Ce n'est pas parce que des gens importants dancent que les autres n'ont droit a rien. Et puis... ne sommes-nous pas nous meme des gens de la premiere importance ?" -suivit un rire leger presque muet-

Mais en fait, bien qu'il laissa sa main tendue, il ne put retenir un regard legerement dérangé quand au mutisme qu'avait tenu Mar Lise en réponse à ses dernieres paroles. Pas qu'il soit particulierement dérangé au point que cela soit nettement remarquable mais ses traits de visage pouvaient le trahir. Déviant rapidement son regard pour effectuer un geste de dépoussierage plus pour le geste en lui-même que réelement pour sa fonction premiere.

Il réancra alors ses iris dans celles de Mar Lise, avec toujours cet eternel sourire qui n'avait pas l'air de vouloir le quitter, en attendant une quelconque réaction de la demoiselle.

(c'est pas génial désolé é_è c'est pas la grande forme en ce moment)

Elève L Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 28/01/2006

Il écoutait patiemment sa réponse, dans un pas de danse voluptueux, il écoute ça douce voix mélodique qui lui conte son nom, Lysandra McGreygor, une demoiselle de haute caste, donc raffinée, sensible et délicieuse. Ainsi elle s’arrêta de danser dans un mouvement gracieux, il s’aperçu que la douce mélodie qui guidait leurs pas s’était tue. Il voyait ça dame en avant se retourner gracieusement pour lui propose un verre ce qu’il lui rappela que la danser donnait soif. Le sourire aux lèvres

Volontiers Lysandra, j’accepte votre invitation

Il la suivit jusqu'à la table pour si assoire mais d’un réflexe.

Puis je vous prier de vous assoire, je vais cherche les verres, que voulez vous Lys ?

Il avait toujours son sourire, pour évite a la demoiselle de faire cette tache, gentleman oblige, il ne pouvais pas la laisse le servir, se serait déplacé et incongru

(HR : désole pour le retard, pas eu beaucoup le temps pendant les vacances)

Pénélope sautillait au milieu des convives, certains avaient cessé de danser, les pieds en feu, d'autres étaient toujours obstinément au buffet pour déguster les succulents petits taosts disposés de façon très harmonieuse. La petite rouquine, les yeux fous, marchait un peu au hasard et parfois, parlait toute seule.

" Moi je pense plutôt que c'est Nana qui a mangé les Radis. "

Mais les gens autour ne la regardait plus trop comme une folle, depuis qu'elle avait dansé avec le professeur Labot. Comme s'ils se demandaient quoi penser exactement d'elle, ils étaient plus méfiants. Après tout, est-ce qu'un professeur l'aurait invité à danser si elle avait été complètement démente ?

" Pourtant les Poissons Rouges n'ont pas d'épines ... Etrange... "

Bien que ces paroles ou ses petits sauts de cabris donnent vraiment l'impression qu'elle était cinglée, les autres élèves présents autour d'elle s'écartaient, comme s'ils préféraient ne pas avoir à l'entendre ni à se poser des questions. Autant s'amuser.

Et Pénélope semblait vraiment beaucoup s'amuser. Depuis qu'elle avait dansé avec le professeur de Défense contre les forces du mal, elle se sentait très bien. Bien qu'elle avait un peu faim ! La rouquine marcha pour atteindre le buffet et prit un petit canapé qui ressemblait à un cheval, qui se cabrait et hennissait. En croquant dedans, le charme s'envolait et elle sentait dans sa bouche le goût était assez piquant, épicé et on sentait un arrière goût de mûre ... c'était étonnant et très bon.